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29 novembre 2013 5 29 /11 /novembre /2013 09:58

UNE SEMAINE SUR LES PAS DE STEVENSON

Mai 2013

A la fin du mois de mai, nous avons randonné avec Michel sur le sentier de Stevenson.

Semaine formidable même si certains s'en sont sortis avec de belles ampoules!

Quelques photos plus évocatrices que de longs discours!


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Terminons avec la visite de la bambouseraie à Anduze.


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12 mai 2013 7 12 /05 /mai /2013 16:48

 

NOS DERNIERS JOURS SUR LE CONTINENT SUD-AMERICAIN ( du I8 au 29 avril )

 

Ces derniers temps se sont passés à préparer le départ du camping-car et, bien entendu, le nôtre , ce qui ne nous a pas empêchés de goûter  jusqu’au bout aux charmes de l’Argentine.

Nous avons pu ainsi nous familiariser davantage avec Tigre, visiter son Port aux fruits où aboutissent  les bateaux chargés de grumes et découvrir le delta, entre autre la zone de Tres Bocas , avec ses alignements de pontons et de belles demeures .

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Station fluviale de Tigre

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                            Petits canaux de Tres Bocas

 

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                                                                                Si,si,nous sommes toujours en Argentine ! 


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                                    Une belle sorcière pour Agnès

Nous avons aussi profité de la lancha qui se rend chaque matin à Buenos Aires pour y trouver  un hôtel  où déposer nos bagages et où séjourner après avoir livré notre véhicule à Zarate.

Cette livraison a eu lieu le 26, comme prévu. La veille, nous avions pris, non sans une pointe de regret ,congé de Béatriz et d’Angel.

 

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Mais il était dit que nous aurions une fois de plus à apprécier  l’hospitalité argentine .  En effet, arrivés à Zarate, alors que nous déjeunons   au bord du Parana, voilà que  survient Martin. Il a lui aussi un camping-car qu’il a fait aménager, qui se trouve au Club nautique situé non loin de là et qu’il se propose de nous montrer. Martin n’est pas un inconnu pour Gisèle qui a l’habitude de consulter les blogs : il a en effet accueilli d’autres camping-caristes qui ont gardé de lui un excellent souvenir .  Ce sera aussi notre cas car nous allons passer le reste de l’après-midi en sa compagnie .

 

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 Le soir, alors que nous sommes à l’hôtel , autre rencontre, celle de Jos et Philippe , un couple belge qui a eu moins de chance que nous et dont le véhicule est tombé en panne du côté de Santiago del Estero, à 1000km d’ici : il a fallu le transporter jusqu’à Zarate sur une plateforme . Nous mesurons la chance que nous avons eue de pouvoir réaliser ce voyage sans rencontrer de gros problèmes et ce n’est pas sans émotions que nous laissons le lendemain matin notre brave camping-car sur le port. Pourvu qu’il n’ait pas trop à souffrir de la traversée et que nous le retrouvions dans un  mois à Anvers aussi fringant qu’il l’ a été tout au long de ce périple !

Pour nous, il nous reste trois jours à attendre à Buenos- Aires, dans un hôtel datant de la belle époque, avant  de prendre l’ avion; trois jours qui nous offrent  l’occasion de découvrir d’autres lieux de la capitale mais également de retourner voir ceux qui nous avaient séduits précédemment, en particulier San Telmo et son marché que nous parcourons pour la énième fois avec toujours autant de plaisir.

 

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                               L'intérieur de notre hôtel

 

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Buenos Aires est immense, avec des quartiers très différents: Puerto Madero, el centro, Barracas, Recoleta ...et en dessous San Telmo :

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                                     Le splendide opéra Colon

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                      Et bien sûr, une petite séquence tango...

 

Mais tout a une fin et nous voici maintenant, nous aussi, sur le départ.  Le soleil se couche sur les quais de Buenos Aires , dans vingt-quatre heures nous aurons retrouvé la  France…

 

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22 avril 2013 1 22 /04 /avril /2013 14:21

SUR LES BERGES DU RIO LUJAN ( du 2  au18avril )

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Que de chemin parcouru depuis notre rentrée en Argentine ! Nous en avons absorbé, des kilomètres de goudron et de pampa avant de retrouver Buenos Aires, notre point de départ il y a un an et demi ! La boucle est bouclée, est-on tenté de dire ; en fait, il suffit de regarder le tracé de nos déambulations pour se rendre compte que nous n’avons cessé de boucler des boucles ces derniers temps, d’où un bel entrelacs de routes qui, cependant, nous laissait quelque peu insatisfaits. A tout cela il manquait la dimension humaine, des rapports plus étroits et plus authentiques avec les gens que nous croisions.

Eh bien ! cela nous a été accordé, ces derniers temps, comme la cerise sur le gâteau.

A Baigorria, près de Rosario, alors que nous étions sous le coup d’une panne temporaire du camping car- problèmes d’injection !- il y a d’abord eu la rencontre et l’invitation inattendue de Juan à venir nous installer chez lui, le camping du coin étant fermé. Accueillis à bras ouverts, nous avons passé une inoubliable soirée avec lui et son épouse, Natalia (sans oublier leur chien, Podro !) échangeant sur tout un peu, en anglais et en espagnol. Ils sont en plein déménagement, ayant fait construire non loin de là, dans ce quartier résidenciel , une nouvelle maison qui sera bientôt achevée et qu’ils nous font visiter avec fierté. Ils nous parlent de leur passion pour le bateau mais aussi de leurs projets, de la façon dont ils vivent la réalité argentine actuelle, de la politique en général. Et tout cela, bien sûr, autour d’un asado arrosé d’excellent vin !

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Puis c’est au tour de Julio de nous surprendre par sa gentillesse. Certes nous l’avons dépanné sur le parking du Buquebus,  à Buenos-Aires, alors qu’il rentrait du Brésil avec son patron : il avait crevé et nous ne pouvions faire moins, nous qui avions été secourus dans de telles circonstances par des gens sympa au Pérou, que de rendre la pareille. Nous en avons été doublement remercié. Apprenant que nous nous rendions ensuite au camping « L’Hirondelle » à Tigre, Julio, qui habite tout près de là et qui nous avait déjà offert des fruits pour le service , est venu nous y rendre visite avec son épouse qui, pour l’occasion, avait confectionné un énorme gâteau. Du coup, autre soirée mémorable en leur compagnie et celle de Béatriz et Angel, les propriétaires du petit camping.

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Et depuis, nous coulons des jours paisibles chez ceux-ci ; un peu plus âgés que nous ils sont aux petits soins avec tous les voyageurs qui viennent y faire escale . Nous regardons la vie couler « tranquillo » le long des rives du rio Lujan, en plein delta du Parana, en attendant l’heure de livrer le camping car pour son embarquement (le 26). Cela dure depuis une semaine et nous nous nous sommes accoutumés au rythme routinier de la journée ponctué par le passage des bateaux.

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 PONTONS.JPG MADRID

 

Le lieu ne manque d’ailleurs pas de poésie, raison pour laquelle, sans doute, l’un d’eux est  venu s’échouer, il y a quelques années, juste à côté du ponton du camping, sous les saules pleureurs qui, en ce début d’automne, déversent une pluie de feuilles tout alentour. Bernard pêche( despoissons-chats surtout !) tandis que Gisèle fait le ménage…ou la conversation (en castillan !) avec Béatriz ; on va de temps en temps à Tigre ou à Buenos Aires par le bateau, une « lancha » :ici, tout (ou presque) se fait en bateau, même le transport scolaire.

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                                                 (Admirez les moustaches)

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                     Bernard prend la lancha pour aller faire les courses.

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                           Et maintenant, le depart pour l´ecole.

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Ces jours-ci, de jeunes Français sont venus faire diversion. A bord d’un  Laïka, mais plus grand que le nôtre, Carine, François et leurs deux enfants entreprennent à leur tour de visiter l’Amérique du Sud . En conversant avec eux et en leur refilant quelques tuyaux, nous avions un peu l’impression de passer le relais

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1 avril 2013 1 01 /04 /avril /2013 21:10

DE L’EQUATEUR A L’ARGENTINE (du 16 mars au 1er avril )

Redescente plein sud et à grandes étapes ( 300 à 550 km par jour). Nous avons nos points de chute et nous retrouvons certains sites avec plaisir à l’heure du bivouac. Mais nous faisons aussi de nouvelles découvertes.

D’abord, à notre rentrée au Pérou, les ruines de Tucume, témoins de la culture Lambayeque, proche de la culture Mochica déjà évoquée. Sur le terrain il ne reste guère que des pyramides d’adobe profondément ravinées. Mais Tucume restera surtout dans notre mémoire comme le lieu de notre première crevaison. En effet nous sommes, c’est le cas de le dire, « tombés sur un os », un bel os bien pointu qui a transpercé le pneu arrière-droit, celui de la roue la plus difficile à dégager. Cependant, après coup, nous pouvons dire que nous avons eu beaucoup de chance : d’abord parce que l’incident s’est produit juste à notre arrivée sur le parking du site archéologique, ensuite parce que nous avons reçu une aide très efficace du responsable local de la police touristique qui  non seulement a su dénicher l’homme de la situation pour mener à bien la réparation mais  a de plus participé activement à celle-ci. Nous lui devons une fière chandelle !

 

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                      TUCUME                                                  CARAL

Autre découverte, un peu au nord de Lima, le temps d’une autre pause nocturne : celle de Caral. Encore un site archéologique, encore des pyramides, mais celles-ci très récemment dégagées et, surtout, datant d’environ 4 à  5000 ans donc contemporaines des civilisations mésopotamiennes et égyptiennes : comme quoi les civilisations précolombiennes du Pérou n’ont pas fini de nous surprendre par leur richesse et leur antiquité.

Autre point de chute et nouvelle révélation, juste à côté d’Ica : l’oasis de Huacachina et sa lagune au creux de dunes très élevées que l’on dévale en surfant sur le sable ou à bord de buggys. Nous nous sommes, pour notre part, contentés de les escalader (bel effort !) pour jouir du magnifique paysage que l’on contemple de là-haut.

 

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          Stop, ça ne passe plus !

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De là il n’y avait plus qu’un pas (de géant…) pour gagner le canyon de Colca et la ville d’Aréquipa dont nous avions réservé la visite pour notre retour mais où nous n’avons pu séjourner autant que nous l’aurions souhaité : les impératifs pour l’embarquement de notre camping car (mi-avril, fin avril ?) pour son retour en Europe s’imposent désormais à nous.

 Pour nous rendre au vertigineux canyon de Colca (l’un des plus profonds au monde) nous avons renoué avec la piste mais nous n’avons pas eu à le regretter vu ce qui nous était promis au bout avec le canyon bien sûr, où nous avons passé une nuit inoubliable, mais aussi, à la Croix des Condors, avec le spectacle que nous ont offerts ceux-ci dès le lendemain matin, allant jusqu’à venir se poser à quelques mètres de nous en surplomb de l’abime.

 

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                             Une nuit au royaume des condors .

 

A noter aussi la beauté des costumes locaux ,et pas seulement des costumes !

 

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 D’Aréquipa, très animée en cette période de Semaine Sainte, nous retiendrons surtout l’architecture religieuse et, en particulier le couvent de Santa Catalina, créé au 16ème siècle, véritable ville aux couleurs ocre rouge et bleu avec ses ruelles longées de cellules monastiques( relativement confortables pour l’époque : on n’y entrait que bien dotée, semble-t-il). Nous n’avons sans doute pas goûté tous les charmes d’Aréquipa : nous connaissons quelqu’un qui y a séjourné bien plus longtemps et qui  pourrait beaucoup mieux en parler que nous !

 

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Arequipa, la ville blanche: de nombreux bâtiments sont construits en tuf de lave.

 

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 Et nous voici maintenant au Chili où nous passerons deux nuits sous la somptueuse voûte étoilée du Désert de l’Atacama et retrouverons avec un émerveillement renouvelé les superbes paysages du Paso de Jama qui nous ramène en Argentine.  

 

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17 mars 2013 7 17 /03 /mars /2013 22:44

Au nord de Quito (du 11 au 15 mars)

Après un jour de repos, nous avons repris les commandes de notre camping car pour nous diriger vers le nord , et d’abord vers un autre lac de cratère, plus étendu que le Quilotoa : la laguna Cuicocha au milieu de laquelle trois îlots émergent, signes d’une activité volcanique postérieure à l’éruption qui a creusé le cratère.

 

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Nous redescendons ensuite sur Otavalo où, après une nuit dans le très british « Rose cottage » avec un magnifique aperçu sur les lumières de la ville , nous ferons le marché au sens propre et au sens figuré , admirant aussi bien la production textile locale que les tenues typiques du coin. Cependant, ici comme aux Galapogos, le tourisme a eu des effets pervers et nous ne savons pas toujours l’origine et la valeur de ce que nous achetons :on peut marchander hardiment car, à l’évidence, les prix sont surestimés !

 

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( Un américain de plus sur le marché! )

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Ceci dit la principale attraction de la région est la ligne de l’équateur qui passe entre autre à Cayambe et à Mitad del Mundo, ligne fixée pour la première fois au XVIIIème s par La Condamine et le groupe  de savants français qui l’accompagnaient  dont les bustes se dressent le long de l’allée qui mène au monument bâti pour marquer l’événement. Depuis l’on a pu établir que la ligne passe à quelques centaines de mètres de là , au niveau du musée Inti Ñan. De toute façon , et le GPS en atteste, nous sommes entre hémisphère nord et hémisphère sud : on peut pencher pour l’un ou pour l’autre, on peut aussi  s’amuser à faire tenir un œuf sur un clou, exercice dont Gisèle se tire suffisamment bien pour avoir droit à un diplôme en plus du tampon sur nos passeports attestant de notre passage à 00°00’ 00’’ de latitude.Avec tous ces zéros…on est riche !

 

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Après une nuit dans l’enceinte du musée, la tête dans un hémisphère et les pieds dans l’autre (de quoi être déboussolé !), nous prenons la direction de l’ouest pour nous rendre à la réserve de Mindo-Nambillo dans une zone de forêt tropicale humide réputée pour sa flore et sa faune. On appelle aussi cela « forêt de brume » et, de fait, la pluie ne va pas nous lâcher de la journée.

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Nous ne verrons donc pas grand-chose excepté des colibris et des tangaras.        


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Et beaucoup de fleurs...

 

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Le lendemain matin, sous un ciel plus clément,nous pourrons observ er des papillons dans une « mariposeria » où on les élève.Reste que le dépaysement a été total au milieu de cette végétation luxuriante et inattendue à seulement une centaine de kilomètres de la capitale.

 

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                                         (En voilà un qui sort juste de sa chrysalide! )

Nous n’irons pas plus au nord. Après une halte au plus grand cratère éteint d’Amérique du Sud, cratère si vaste qu’on ne sait sous quel angle le photographier et si éteint que le fond en est habité et cultivé, nous retraversons donc Quito, sous une pluie diluvienne, une de plus (notre voyage en Equateur aura été bien arrosé !)Il nous faudra bien une heure et demie pour nous sortir de la ville : merci à notre GPS qui ne nous a pas lâchés dans ce passage un peu difficile (il lui arrive parfois d’avoir des ratés !)

Ensuite direction le Parc du Cotopaxi où nous sommes certains de trouver un emplacement sûr et gratuit  pour passer la nuit.  Les monts alentour sont couverts de neige et il en est de même du volcan mais celui-ci, encore dans les nuages à notre arrivée, va nous faire un cadeau royal en se découvrant enfin entièrement, l’espace d’un petit quart d’heure, alors que nous avions perdu tout espoir de le contemple un jour. Génial ! On va pouvoir faire de beaux rêves !

 

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17 mars 2013 7 17 /03 /mars /2013 22:07

 

                        LES CELEBRES TORTUES GEANTES

 

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                    LES IGUANES NON MOINS CELEBRES

 

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                                            ( IGUANES MARINS D'ABORD )

 

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                       ( IGUANES TERRESTRES ENSUITE ...)


                       OTARIES ET / OU LIONS DE MER

                     ( Y a-t-il un spécialiste pour les différencier ? ) 

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                                                    ( Capitaine à bord !)

                                       LES PREFERES DE GISELE

 

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                                ET POUR LES OISEAUX:

 

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                              LES FOUS A PATTES BLEUES

 

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                                           LES FREGATES

 

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                                   LES PINSONS DE DARWIN

( dont les différences morphologiques sont à l'origine de sa thèse sur l'évolution des espèces. )

 

                                 AUTRES OISEAUX DES ILES :

 

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17 mars 2013 7 17 /03 /mars /2013 18:05

Excursion aux Galapagos  (du 6 au 10mars)


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Dès notre arrivée à Quito nous avons prospecté les agences, notamment celles tenues par des Français : les Galapagos, nous savions que ce n’était pas donné, mais en être si près et ne pas y aller !... Finalement nous avons opté pour un tour de 5 jours à un prix qui nous a paru raisonnable pour un combiné de 4 îles , dans l’ordre : San Cristobal, Floreana , Isabela,  Santa Cruz. Sur le papier, cela se présentait bien même s’il nous a fallu nous lever à 3h du matin pour gagner le nouvel aéroport de Quito très éloigné de la ville. Seulement nous avons joué de malchance…

 

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Cela a commencé avec les problèmes de vol, le nôtre étant retardé de 3H30 à cause du mauvais temps régnant au-dessus de Guayaquil, escale avant San Cristobal. Du coup ,  arrivés à destination , malgré un décalage horaire en notre faveur( 1 heure de moins que sur le continent), nous n’avons  eu droit qu’à une partie du programme de l’après-midi, une séance de snorkel (nage avec palmes et tuba pour observer les espèces aquatiques)près d’un îlot rocheux qu’on appelle Le Lion endormi pour sa ressemblance avec un lion de mer. Là, nous avons commencé à déchanter car nous n’avons jamais pratiqué le snorkel et, en l’occurrence, notre guide non seulement ne s’est pas occupé de nous initier à cette discipline mais nous a lâché en eaux profondes au milieu des vagues qui  battaient violemment  les rochers. Bernard, qui avait voulu tenter l’expérience et s’était jeté à l’eau, a dû rebrousser chemin non sans difficultés. Nous avons donc  été dégoûtés dès le début du snorkel  alors que , dans d’autres conditions, nous aurions sans doute apprécié comme d’autres de pouvoir  évoluer au milieu des requins,des otaries et des tortues de mer.

 

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                                                                            ( snorkeling ou nage libre mais pas au Lion endormi!)

Et le reste a été à l’avenant. Le troisième jour, à cause du brouillard, nous n’avons pu voir, sur l’île Isabela, le volcan Sierra Negra encore en activité et son immense cratère(11km de diamètre). C’était pour nous le clou du voyage :qu’on juge  de notre déception ! Qui plus est, le dernier jour notre guide a oublié de se lever( !) et nous avons en plus été privés de la visite du Centre Darwin, centre d’étude du milieu ambiant et de reproduction des tortues et des iguanes…Enfin, et on s’arrêtera là, l’avion du retour a eu, lui aussi, des problèmes, cette fois d’ordre technique, d’où, là encore, 3 bonnes heures de retard et une arrivée nocturne à Quito.

Mais c’est surtout à notre guide, le pire que nous ayons rencontré au cours de notre périple en Amérique du Sud, que nous en voulons pour ne s’être pas soucié de son groupe comme il aurait dû, ne parlant que l’anglais alors que l’espagnol nous était plus accessible(et que c’est sa langue natale, que diable !) , ne respectant guère les normes de sécurité, multipliant les temps morts et plus soucieux de son confort personnel que de l’intérêt de ses clients.

 

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                            ( Notre bateau et le guide dans son activité préférée! )

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                                         ( Un autre moyen de transport utilisé sur les îles )

Alors, que retiendrons-nous de tout cela ? Eh bien, quand même, beaucoup de belles images qui contrebalancent notre amertume de n’avoir pas vu tout ce que nous aurions souhaité.

Il n’y a pas à dire : les îles Galapagos sont un paradis marin avec des paysages volcaniques superbes, des plages de rêve, un festival d’animaux merveilleux mais étrangement familiers  qu’ on peut  côtoyer sans difficulté et sans crainte.

 

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                                             Petite idée de la végétation

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                                                                                           ( Cactus de lave )

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                                                        LA MANGROVE

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Et de plus elles ont chacune des histoires à raconter avec leurs grottes , leurs repaires de pirates ou les ruines d’une base américaine, celles d’un pénitencier style Cayenne.

 

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N’empêche : cet archipel qui offre de quoi alimenter la curiosité et l’imagination des plus difficiles est touristiquement surexploité et quasiment colonisé par la clientèle nord-américaine  ce qui risque, à terme, de lui ôter de sa séduction.

 

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Nous n'avons pas oublié les photos d'animaux; elles seront dans le prochain article.

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12 mars 2013 2 12 /03 /mars /2013 01:14

L’Avenue des Volcans jusqu’à Quito (3 au 6 mars)

Nous sommes entrés dans ce qu’on nomme « l’avenue des volcans ». Malheureusement, avec la pluie et le brouillard, ceux-ci, dont beaucoup sont encore en activité, ne sont guère visibles. Tout juste aperçoit-on parfois un panache de fumée se confondant avec les nuages. Dommage car la route est belle qui nous mène de Latacunga à la laguna Quilotoa, un lac de cratère à  3900 mètres d’altitude environ.

 

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Nous y arrivons le soir. En suivant le chemin qui suit les bords du cratère, nous avons l’occasion d’assister à une veillée funèbre, dans une petite maison avec une grande croix illuminée : les indigènes sont venus nombreux des quatre coins de la montagne pour  saluer le défunt au milieu des lamentations des pleureuses et de gens accroupis..

 

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                     La laguna le soir...                                  et le matin

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Ici le costume régional, que pratiquement tout le monde porte, a un petit air tyrolien avec sa plume au chapeau pour les femmes comme pour les hommes, mais cela n’a rien de « folklorique » (je pense à ce que nous avons dit pour l’Amazonie) : cette tenue vestimentaire est celle de chaque jour et, ma foi, les jeunes femmes qui l’arborent sont tout à fait charmantes.Et tandis que la nuit tombe, du parking où nous sommes installés, nous participons à notre manière à la vie de ce village de montagne équatorien avec ses costumes, ses coutumes et sa gentillesse.

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Nouvelle déception, cependant, le lendemain. Nous nous sommes rendus dans le parc du Cotopaxi, le plus haut volcan avec le Chimborazo (près de 6000m), mais il n’a pas daigné, lui non plus, se dégager des nuages. Pourtant nous lui en avons donné le temps d’abord en faisant le tour du lac Limpiopungo puis en bivouaquant à ses pieds. Mais en vain !

 

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                                 Type de végétation rencontrée à plus de 3000 m.

Et il en a été ainsi jusqu’à Quito (à 2850 m d'altitude ). La capitale de l’Equateur est, elle aussi entourée de volcans mais dont nous n’avons pu contempler jusqu’à présent les sommets.

 La ville qui s’étale le long d’une vallée est très agréable comparée à Lima et il y règne la nuit une douce fraîcheur. Rien d’équatorial ! Pas besoin de climatiseur , contrairement à ce qu’on pourrait penser !

 

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                            Le palais présidentiel et la relève de la garde.

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Le centre historique, le Quito colonial, est sans doute ce que nous avons vu de mieux dans le genre en Amérique du Sud, et la ville nouvelle ne manque pas non plus d’agréments. Néanmoins il n’est pas conseillé de s’y promener la nuit ou de laisser son véhicule dans la rue. Nous allons donc nous installer dans un hôtel du coin qui accepte de garder notre camping car sur son parking le temps de notre tour aux Galapagos.

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12 mars 2013 2 12 /03 /mars /2013 01:05

De Cuenca à Baños ( du 26 février au 2 mars)

Nous allons quitter Cuenca non sans avoir parcouru le Musée de la Banque Centrale qui donne un aperçu des traditions et des manières de vivre dans chaque région du pays et qui jouxte les vestiges d’un complexe cérémoniel bâti par les Incas. Ces derniers avaient en effet poussé jusqu’ici (leur empire s’étendait de l’Equateur au centre du Chili !) Nous nous arrêtons d’ailleurs un peu plus tard  à Ingapirca où ils ont laissé des traces plus visibles de leur civilisation avec un temple du soleil remarquable. Parmi les autres curiosités du coin, une tête d’inca se profilant dans la roche.

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Evidemment ce n’est pas le Pérou !...et Gisèle semble s’intéresser davantage au costume de notre guide, une Cañari, descendante du peuple qui précéda la conquête Inca.

 

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Nous resterons sur le site et passerons la soirée avec un couple de Français, des Toulousains, Alain et Marie-Agnès (sic !) grâce à qui nous récupérons une carte d’Equateur pour notre GPS. Eux  poursuivent la route vers l’Amérique du Nord. On les envie… mais nous sommes maintenant bien décidés à nous en tenir à l’Equateur d’autant que nos freins arrière donnent des signes de fatigue et que nous allons sans doute devoir nous arrêter chez un garagiste pour qu’il y jette un œil.

On le trouvera, ce garagiste, à l’entrée de Riobamba et il s’avèrera que nos garnitures sont complètement usées. Va alors commencer un démontage épique au bout duquel le Maestro (le patron) qui orchestre le travail de ses ouvriers nous annonce…qu’ils n’ont pas les pièces de rechange. Là , sueurs froides…jusqu’à ce qu’il ajoute,un instant après, qu’il devrait quand même y avoir une solution. Bernard va donc se rendre en ville avec un ouvrier et les pièces défectueuses pour qu’un artisan puisse les « ressemeler » (traduction de l’espagnol).

 Puis, la nuit tombant, le Maestro nous dit que le travail de remontage ne pourra se faire que le lendemain. Nous demandons  alors à pouvoir bivouaquer sur place dans la cour du garage : pas de problème! Ainsi après le lodge sur pilotis en Amazonie, voici le lodge sur crics !

 

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 Le lendemain, remontage tout aussi épique et éprouvant pour les nerfs. Il est certain que nos roues arrière ne sont pas faciles à sortir et à réinsérer à cause de la carrosserie du camping-car et de la tuyauterie qui court sur les côtés de celui-ci mais vu le temps qu’il faut pour les remettre, nous nous demandons s’il n’y a pas eu d’erreurs lors de leur dépose.  Il semble finalement que non puisque nos roues retrouvent enfin leur place. Ouf !...sauf que…le frein à main ne fonctionne plus. Aïe !

 S’ensuivront d’autres tribulations que je ne raconterai pas ici. Le fait est que nous ne pourrons repartir qu’en début d’après- midi. La bonne nouvelle, par contre :  pour 8 heures de travail et le retapage des pièces,  nous n’aurons payé que 44 euros !Il faut dire qu’en Equateur, où la devise est le dollar, on trouve des produits et des services à prix imbattables : 2 dollars (1,5 euro) la coupe de cheveux ; 20 à 30 centimes le litre d’essence ; 5 euros pour un repas pour deux(soupe ou entrée + plat de résistance) !

A la suite de tout cela, pour nous reposer de nos émotions, nous passons deux jours à Baños, ville de bains alimentée par les sources d’un volcan en activité, le Tungurahua (5023m) : cela donne une eau jaunâtre à 40° minimum dans laquelle on se baigne avant de se doucher sous la cascade où il fait beaucoup plus frisquet : soi-disant que le régime est efficace…d’autant que la « Virgen d’Agua Santa » veille sur ces lieux  et accomplit des miracles !


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12 mars 2013 2 12 /03 /mars /2013 00:07

Saraguro et Cuenca (24 et 25 Février)

Nous partons à présent vers Cuenca, ville située plus au nord, à travers une Suisse équatorienne où alternent forêts et prairies. Beaucoup de vaches et des maisons qui ont quelquefois des allures de chalets. Du brouillard aussi sur les sommets.

A Saraguro, capitale régionale des indiens du même nom, c’est jour de marché et ceux-ci  y sont descendus tout endimanchés. Les femmes ont mis leurs plus beaux atours-colliers,broderies et tupus, fibules  pour tenir leurs châles- et les hommes, dont la tenue est un peu particulière, ont un je ne sais quoi d’auvergnat malgré  leur  natte. 

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 Tout ce monde crée une animation chaleureuse et nous prenons un agréable bain de foule en même temps que nous nous ravitaillons. Il y a des « baraques à frites », nous en mangerons ce midi avec du cochon grillé, ces cochons grillés qui sont exposés sur des broches devant les restaurants et qui font un mets savoureux.

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Nous atteindrons Cuenca en fin d’après-midi ce qui nous laissera encore le temps d’aller dans le centre de cette cité classée au Patrimoine de l’Humanité pour ses maisons de l’époque coloniale .Nous y restons le jour suivant pour un tour au « Museo de los Artes Aborigenes »-on y découvre les civilisations qui se sont succédé en Equateur de puis le paléolithique.


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Au musée-atelier du panama nous assistons aux différentes étapes de la fabrication des célèbres chapeaux de ce nom dont l’origine, on nous l’affirme, est bel et bien équatorienne. Leur tressage et leur mise en forme peut demander plusieurs jours. Gisèle, séduite par ces couvre-chef, s’en fait terminer un…sur mesure !


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                                                                           Rassurez-vous,ce n'est pas celui-ci que j'ai choisi !



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Présentation

  • : Vers de nouveaux horizons...
  • : Nous en avons rêvé longtemps.L'heure est venue de concrétiser ce rêve .Après avoir parcouru l' Europe avec notre camping car,il est temps de partir à la découverte d'autres continents, à commencer par l'Amérique. Mais nous ne voudrions pas être seuls à faire ce beau voyage.Ce blog est une invitation, pour tous ceux que nous aimons et connaissons, à y participer. Tous les amateurs de dépaysements sont bien sûr les bienvenus à nos côtés .
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